Dans cette forêt au début il n’y a rien, que la nuit, les ombres, la peur et de la peinture noire.

C'est l'histoire d'un enfant, guidé par sa soif de découverte, qui va affronter l'inconnu pour grandir et se révéler à lui même.

Sur le plateau, une porte s’ouvre sur la forêt laissant apercevoir un bûcheron, un cerf, une cabane de branches, du bois, de la fourrure et des feuilles.

Les chemins se dessinent sur du papier blanc, une carte de la forêt prend forme. La forêt ne sera jamais visible. Elle est évoquée, esquissée.

On assiste sur scène à la fabrication de ce que pourrait être une forêt. C’est un point de vue, une évocation singulière. Celle d’un homme qui se souvient que c’est en traversant la forêt et en se laissant apprivoiser par elle, qu’il a grandi.